Comme le SNALC n’a cessé de le dire depuis l’audience qui a été accordée aux organisations syndicales suite au mouvement de grève très suivi du 13 janvier 2022 : les annonces sont très loin de satisfaire nos exigences.
Grève : non, « les syndicats » ne sont pas satisfaits !
Les vraies-fausses créations de poste, la tenue d’un point sanitaire régulier et les masques promis ne sauraient nous faire oublier que nombre de problématiques ne sont pas traitées.
Le baccalauréat Blanquer avec ses épreuves de spécialités en mars sont à ce titre un exemple de l’aveuglement dogmatique de la rue de Grenelle. Afin de lui ouvrir les yeux, l’intersyndicale a mis en ligne une pétition que nous vous invitons à signer en masse.
Mais ces épreuves ne sont pas les seules évaluations dont le SNALC exige la modification. La politique évaluative du ministère, qui joue sur nos carrières, notre pédagogie et ce temps après lequel nous devons tous courir en permanence, doit changer !
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Enfin, le SNALC, et c’est encore plus vrai dans le contexte auquel nous sommes confrontés depuis deux ans, reste dans le combat sur d’autres questions cruciales comme les salaires de tous les personnels de l’éducation nationale qui ne sont ni DASEN ni recteurs ou comme la surcharge de travail et le mépris affiché envers les professeurs.
Sébastien VIEILLE,
Secrétaire national du SNALC chargé de la pédagogie